Meet and greet avec Chamsou-Dine BAGUIRI

Notre nouveau responsable de la communication au Bénin !

Chamsou-Dine Baguiri

Chams-Dine, présente-toi s’il te plaît.

Je m’appelle Chamsou-Dine BAGUIRI, je suis né le 2 mars 1993 à Parakou. Je suis béninois originaire de Ina, un arrondissement de la commune Bembèrèkè dans le Nord du Bénin. J’ai un baccalauréat série B (littérature plus économie) et je suis titulaire d’une licence professionnelle en sciences techniques de l’information et de la communication/ option journalisme. J’ai une femme et je suis père de deux enfants : une fille et un garçon.

Pourquoi est-ce que tu as postulé à la Fondation?

Mon sens du volontariat et du partage épousent toutes les valeurs de la Fondation. Les activités de la Fondation Hubi Vinciane répondent clairement aux ODD (NDLR : Objectifs de Développement Durable des Nations Unies). Toutes les actions humanitaires et sociales que mène la Fondation pour les populations béninoises en particulier dans les communes de Tchaourou, Parakou et N’Dali sont salutaires. Cette sensibilité d’aller aider les autres et d’aller au contact des autres pour les sensibiliser sur les volets éducation, santé, agriculture et nutrition m’ont ému. Je suis tombé amoureux de la Fondation. Lorsque j’étais journaliste reporter à l’Office de Radiodiffusion et Télévision du Bénin à Parakou, j’avais déjà produit un reportage pour une activité de la Fondation. Donc je connaissais déjà la Fondation un petit peu avant de la rejoindre.

Tu avais déjà des expériences similaires ou dans le même secteur auparavant?

Oui j’avais des expériences mais je ne sais pas si je peux me permettre de dire qu’elles sont similaires. Je suis membre du Réseau Béninois du Parlement Mondial de la Jeunesse pour l’Eau (RBPMJE) depuis 2019. J’y suis chargé du volet communication dans le Borgou. Intéressé par les objectifs de développement durable, je me suis spécialisé dans la production d’articles et de capsules audiovisuelles. Avec le RBPMJE, nous menons des activités de volontariat pour le changement de comportement des populations dans les domaines de l’hygiène et de l’assainissement.

Avec l’avènement du COVID-19, le réseau et l’autre association dans laquelle je milite à savoir Voix et Actions Citoyennes (VOA) ont beaucoup communiqué sur les réseaux sociaux pour lutter contre la pandémie. Auprès de ces associations de jeunes et par le biais des activités de terrain de certaines ONG internationales, j’ai beaucoup appris : la supervision et le rapportage, sans oublier la rédaction d’articles et la réalisation de productions audiovisuelles.

Tu travailles maintenant depuis début mars à la Fondation. Sur quoi t’es-tu concentré jusqu’à présent?

Depuis que je travaille à la Fondation, je me concentre sur la rédaction des articles et la production de capsules vidéo sur les volets d’intervention de la Fondation. J’ai déjà réalisé plusieurs vidéos dont la cérémonie de remise d’ouvrages aux écoles primaires et collèges publics et la semaine du bénévolat en Belgique. J’ai également rédigé quelques articles sur la visite de l’ambassadeur de Belgique auprès du Bénin au CIAP et sur la formation des animateurs sur le maraîchage etc…
Je me concentre également sur la question de voir comment apporter plus de visibilité aux actions de la Fondation. C’est d’ailleurs l’un de mes objectifs en venant à la Fondation.

Tu as déjà une première idée du fonctionnement de la Fondation maintenant. Y a-t-il des choses que tu aimerais changer dans la manière dont les informations sont échangées entre les sympathisants en Belgique et au Bénin ?

La façon dont se font les échanges avec les sympathisants de la Belgique est bonne. Je me sens comme en Belgique d’ailleurs en étant à la Fondation ou à chaque fois que je communique avec un membre de la Fondation en Belgique.

Concernant les suggestions, je pense qu’on peut continuer à produire des vidéos et des articles pour des appels de soutien. Ce sera à moi de redoubler d’ardeur. On peut aussi organiser des séances d’échange avec les volontaires belges par visioconférence de façon hebdomadaire pour plus de partages et mieux faire connaissance.

La newsletter et le site web sont essentiels pour obtenir un sentiment d’implication et de solidarité en Belgique. As-tu déjà une idée de l’utilisation de la newsletter et du site web au Bénin ?

Oui je travaille sur une stratégie. Celle-ci implique tout le personnel de l’équipe locale, les boursiers et stagiaires. Toutes ces cibles seront sensibilisées à l’utilisation de la newsletter et la visite régulière du site. Ainsi je créerai un groupe Whatsapp dénommé ‘’ Les amis de la Fondation Hubi & Vinciane’’. Tous ces acteurs ciblés iront tous aimer la page Facebook de la Fondation et inciteront leurs amis à faire pareil. Ainsi, à chaque publication, ils seront informés de toutes les actualités et feront des like. Ils ne manqueront pas d’aller visiter aussi le site de la Fondation.

Comment vois-tu le rôle des médias sociaux pour réaliser les objectifs de la Fondation (médecine, éducation, agriculture) et pour mieux atteindre la population du Bénin ?

Les réseaux sociaux ont un grand rôle à jouer pour réaliser les objectifs de la Fondation. Surtout la page Facebook et Twitter ont pour but d’informer les internautes sur les activités de la Fondation. Faire des publications chaque deux jours serait une bonne option pour accrocher et garder en éveil les internautes surtout Béninois, Africains, Européens et autres. Avec l’action des tweets et des partages, on réussira à toucher un maximum de personnes et faire connaître davantage la Fondation.

Merci Chamsou-Dine. Nous te souhaitons bonne chance.